Avant de réussir ce succès, il a tenté quelque chose d'aussi intelligent, qui n'a pas fonctionné, ce qui a valu un genre de clin d'oeil de la part de Jacob Markstrom. Par contre, lorsque ç'a fonctionné, Markstrom a donné une petite tape à Suzuki fort probablement en guise de frustration, indiquant qu'il venait de perdre cette petite guerre psychologique.
« Il m'a donné une petite tape après. Je pense qu'il était fâché! » - Suzuki
C'était une petite victoire mentale pour ce joueur rempli de caractère, mais une grande pour l'équipe qu'il traîne sur ses épaules depuis cinq rencontres. Pendant cette séquence, il a récolté neuf points, prouvant à ses quelques « critiqueux » que le poste de pivot numéro un était à lui.
Suzuki peut également compter sur le support de son entraîneur, qui semble admirer son numéro 14 :
« Quand c'est compétitif comme ça, que c'est le temps de trouver les options, de faire sortir son intelligence, ça sort tout seul. Il se connaît encore mieux comme joueur. Il a à coeur les succès de l'équipe et il veut faire une différence. » - Ducharme
Ducharme a également ajouté à quel point Suzuki était difficile à affronter :
« Il n'a pas l'air de ça, mais c'est pas mal difficile de l'affronter. Quand il a ce désir, tu le vois proche de la rondelle, il est en mouvement, tu vois les signes rapidement. C'est un compétiteur silencieux. Il faut le regarder aller. Il ne court pas partout en train de frapper des gars, mais il est sur la rondelle et il est fort. »
Le joyau de l'organisation, c'est lui, Nick Suzuki!