Josh Anderson a dû ramasser sa mâchoire avant la rencontre de jeudi
Josh Anderson a connu un grand match hier, à l'instar de ses coéquipiers, ainsi que son équipe. Certains se moquent du terme « l'effet Martin St-Louis », mais ça reste une réalité. Le leadership, la prestance, l'aura, la grande confiance et cette intensité, ça ne s'achète pas!
Lorsqu'il offre un discours dans le vestiaire, la gueule des gars tombe directement au sol. C'est grandiose et ça donne des frissons, selon Jeff Gorton et plusieurs joueurs, dont Josh Anderson. Il a été estomaqué par la prestance de Martin St-Louis, qui est un homme en totale confiance.
Lorsqu'il parle, tu « farmes » ta « yeule » et tu écoutes!
La différence entre la joute de jeudi soir et les matchs dirigés par Dominique Ducharme, l'engagement des soldats. C'est impossible de ne pas se ranger derrière un homme comme Martin St-Louis. Anderson se sent mal pour Ducharme, mais il n'en demeure pas moins que les joueurs ne voulaient plus jouer pour lui.
En passant, lorsque Dom Ducharme a été congédié, Josh Anderson dormait profondément. Fort probablement un petit « power nap ».
Bref, le numéro 17 est une fois de plus débarqué avec un discours digne d'un capitaine. Au fait, son nom doit certes se retrouver dans le chapeau pour ce rôle.
Le problème était peut-être les joueurs, comme Maxim Lapierre s'époumone à le répéter, mais Ducharme n'était pas blanc comme neige non plus. Être un leader né et vendre son plan, ce n'est pas donné à tous!!!
