Après une nouvelle défaite de son équipe, un journaliste a demandé si l'entraîneur se tournait vers l'alcool pour gérer la frustration. Bien que la question ait été posée sur un ton de plaisanterie, elle a rapidement suscité des interrogations sur l'éthique de ce genre de questionnement.
En réponse, Martin St-Louis a fait preuve de classe, répondant que l'alcool n'était pas une solution pour surmonter une défaite, tout en ajoutant avec un sourire que « les bières ont meilleur goût après une victoire ».
Sa réponse a désamorcé la situation avec brio, mais elle a aussi mis en lumière une question essentielle : à quel point les journalistes ont-ils le droit de questionner les figures publiques sur leurs habitudes personnelles, surtout lorsqu'elles touchent à des sujets aussi intimes que l'alcool? C'est bizarre, non?
Les conférences de presse devraient rester des moments où l'on discute des enjeux sportifs, des performances de l'équipe et des stratégies de jeu.
Interroger un entraîneur sur son recours éventuel à l'alcool après une défaite, c'est spécial, non?
Si la question avait été posée avec un objectif journalistique précis, ça aurait pu être acceptable, mais pour l'instant, elle semble avant tout être une intrusion dans la vie privée de Martin St-Louis.
Il est essentiel de se rappeler qu'un entraîneur, bien qu'une figure publique, reste un être humain avec ses propres limites. Le respect de la vie privée est un principe fondamental, même dans le cadre d'une conférence de presse.
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