Souvent, on a tendance à observer les joueurs avec des habilités offensives déconcertantes, comme Wright ou Connor Bedard. Mais, pour ma part, des joueurs comme Elliot Desnoyers me charment automatiquement.
T'sais, des « warriors » de la trempe de Brendan Gallagher, Rafaël Harvey-Pinard ou Artturi Lehkonen. Le pied au plancher et le désir de faire briller leurs coéquipiers avant eux-mêmes. Ce type de gars là, ça m'inspire.
Desnoyers, à mes yeux, joue un style de hockey empêchant les entraîneurs de se casser la tête puisqu'on sait ce qu'il donnera à chaque présence.
« J'ai toujours été comme ça. Je suis un gars discipliné dans tout. J'ai pris l'habitude de parfaire la moindre petite chose sur la glace. D'habitude, les entraîneurs apprécient.
L'équipe passe avant tout. Tu pourrais me donner deux minutes de glace en me demandant de bloquer un tir avec mes dents, je vais le faire. Je sais que ma mère ne serait pas contente, mais je le ferais quand même pour l'équipe. » - Desnoyers
Desnoyers est évidemment louangé par les entraîneurs d'équipe Canada, qui apprécie grandement sa présence avec le club.
« Il est toujours au pic et à la pelle. Il fait tout pour la réussite des autres. Son éthique de travail et son engagement sont irréprochables. C'est un guerrier hargneux et intense. » - Louis Robitaille (entraîneur adjoint du Canada)
Bref, l'espoir des Flyers a d'ailleurs reçu un surnom d'un fanatique de l'équipe, soit le « Destroyer ».