Voici le discours en question de McNiven :
« Je jouais en dépit d'une blessure. J'ai demandé à ce qu'on me sorte du match, les entraîneurs m'ont laissé là et on a accordé trois buts. Alors avant que tu dises que j'ai connu un match atroce, ce n'était pas un match atroce.
Je ne sais pas pourquoi ils ne m'ont pas remplacé. Je pouvais à peine me déplacer d'un poteau à l'autre à ce moment-là. Je ne crois pas que les entraîneurs se doutaient que c'était si pire, en fait j'ose l'espérer. Le soigneur m'a dit de rester dans le match si je m'en sentais capable, mais j'ai dit non. Ça faisait dix minutes que je demandais qu'on me sorte de là.
Pour moi, que ça vienne d'un journaliste ou d'un simple partisan, la façon dont la première question m'a été posée, c'est probablement ce que tout le monde va penser. Mais je crois qu'on aurait dû m'écouter avant. Mon match suivant a été bien meilleur. C'est tout ce que je vais dire à ce sujet. »
Savez-vous quoi? Le jeune homme de 25 ans aurait peut-être dû fermer son clapet (sa bouche) ou tourner la langue sept fois dans sa bouche avant de déposer un tel dialogue. La raison est simple, voici ses statistiques depuis ce cri du coeur.
Ouf, ça fait plutôt mal au coeur, Michael!