«On m'a lancé au c½ur de l'action» 👇https://t.co/O2TSNJlLKA— TVASports (@TVASports) November 10, 2020
Tokarski n'a que de bons souvenirs de son passage à Montréal et de ses 31 rencontres (incluant les cinq en séries) dans cet uniforme. Au sein de ce groupe, il a eu la chance de côtoyer l'un des meilleurs cerbères de sa génération et d'analyser son comportement, autant sur la patinoire qu'à l'extérieur de celle-ci.
L'un de ses principaux souvenirs au sujet du prince arborant le numéro 31 demeure son comportement lors des entraînements. Même si Price peut décider de rater des entraînements, évoquant un besoin d'une journée de traitements, lorsqu'il y est, il y est. Il veut dominer et tout arrêter afin qu'aucune rondelle ne traverse sa ligne rouge.
«Quand on marquait des buts contre lui à l'entraînement, il devenait fâché et jamais je n'avais vu quelqu'un aussi de mauvaise humeur. C'est pourquoi il fait partie de l'élite et peut transporter une équipe à lui seul. Il n'arrête pas de s'améliorer.» - Tokarski
Dans le sport de haut niveau, même les meilleurs comme Sidney Crosby, Alex Ovechkin ou Carey Price doivent toujours pratiquer, s'entraîner, s'exercer, évoluer ou visionner des vidéos. Si Ovechkin marque autant de buts, c'est qu'il continue à lancer 1000 rondelles par pratique. Il veut être le meilleur buteur de l'histoire, donc il travaille en conséquence.