St-Louis devrait, à moins d'une énorme surprise, être à Montréal pour très longtemps, mais comme nous avons vu l'année dernière, certains évènements de la vie font en sorte qu'il pourrait devoir quitter.
Alex Burrows en est un bel exemple, alors qu'il a quitté son poste pour sa famille. Martin lui-même a du partir en pleine fin de saison pour aller au chevet de son fils.
JF Houle a quitté le Rocket quelques jours après avoir signé une prolongation de contrat de trois ans. Son adjoint avait quitté au préalable. Bref, le Canadien fait bien de s'assurer d'avoir de la relève à ce niveau.
Le processus d'embauche du coach du Rocket a été assez ardu, et ça s'est terminé avec Pascal Vincent.
L'entraîneur de carrière va non seulement être une aide précieuse pour les jeunes, il sera aussi une bonne police d'assurance pour le Canadien en cas de départ soudain de St-Louis.
Plusieurs journalistes, notamment Stu Cowan, ont mentionné que c'était une des causes de la sélection de Vincent.
Je veux être clair : le poste de Martin St-Louis n'est pas en danger et il ne le sera pas dans un avenir rapproché, même que Pascal Vincent pourrait quitter l'organisation bien avant St-Louis.
Le but est simplement de mentionner qu'il est une bonne police d'assurance, comme Cayden Primeau l'est pour Samuel Montembeault, ou que Jake Allen l'était avec Carey Price.
Crédit : Danslescoulisses.com
Pascal Vincent : son embauche est (aussi) une police d'assurance pour Martin St-Louis
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