Certains journalistes n'ont réellement pas été tendre à son égard, le comparant à un certain Karl Alzner, qui était aussi lent qu'une vieille Lada en train de manquer d'essence « sans plomb ». C'est à se demander qui gagnerait une course sur patin entre les deux individus...
Mais quelle soirée catastrophique pour la paire Kulak-Savard ! Faire jouer des joueurs dans une chaise qui n'est pas la leur, ça donne le résultat que l'on a vu, une fois de plus, avec Kulak et Savard. Bref, ce serait une 3e paire très honnête, mais dans un top-4, ça donne le constat présent.
Savard a conclu sa soirée de travail avec une mention d'aide, un différentiel de moins-2 et trois revirements, ce qui indique pas mal que son match a été plutôt ardu...
Je vous laisse avec ceci, qui résume parfaitement la situation!