En jasant avec des gens importants au coeur du dossier, le mot plafond salarial est revenu à maintes reprises, selon le dialogue emprunté par monsieur Houde. On parle beaucoup du niveau « hockey », mais un moment donné, on doit parler d'argent et se tourner vers l'avenir. À la lumière des conversations entre Pierre Houde et d'autres gens bien connectés lors du tournoi de golf de Jonathan Drouin, le plafond revenait toujours très haut à la surface.
La question est simple comme ça : comment le Canadien de Montréal peut-il restructurer sa structure salariale avec un contrat qui n'a aucun sens sur l'échiquier actuel?
De plus, il ne faut pas oublier une chose primordiale, Nick Suzuki devra signer un nouveau pacte l'an prochain. Marc Bergevin se doit de lui déposer une offre à minuit 01, le 1er janvier prochain, puis le CH doit le signer pour huit ans. Le Canadien se doit de suivre le marché actuel (voir les Sean Couturier et les Andrei Svechnikov de ce monde).
Ajoutons à cela que si jamais « KK » restait, lui aussi serait à signer à nouveau, ce qui handicaperait la masse salariale du Canadien de Montréal considérablement. D'autant plus que Jake Evans, Artturi Lehkonen et Alexander Romanov seront également agents libres avec compensation... avec une masse salariale qui n'augmentera pas en 2022. On oublie donc « KK » pour la suite des choses, n'est-ce pas?
En terminant, Houde, tout comme Martin Lemay, croit que ce serait mieux un Jonathan Drouin au centre avec de bons ailiers qu'un Drouin à l'aile sans un bon centre. Lorsque Drouin évoluait au centre chez le Canadien de Montréal à son arrivée, le CH ne possédait pas le talent actuel sur les ailes. Est-ce ça la solution moins coûteuse pour la Sainte-Flanelle? On jase là...