Que ce soit Betts, Kershaw ou Justin Turner, la belle barbe rousse qui s'est pavanée sur le terrain pour festoyer avec ses coéquipiers alors qu'il avait quitté la joute pour avoir testé positif à la COVID-19, aucun d'eux ne perdra son emploi. Les joueurs sont mis dans l'arène pour attirer des millions de regards, donc lorsqu'il y a des coupures budgétaires, outre se serrer la ceinture, ils n'écopent pas.
À l'instar du Lightning de Tampa Bay, l'équipe championne de la LNH, les Dodgers ont remercié des employés qui travaillent à la sueur de leur front pour empocher un salaire à peine dans les six chiffres. Plus tôt cette semaine, les Dodgers ont annoncé une vague de coupures, sans annoncer le nombre d'employés qui étaient envoyés directement au chômage.
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«Depuis mars, nous avons travaillé fort pour minimiser l'impact sur nos employés. Toutefois, la crise économique nous force à prendre des décisions difficiles au sein de notre organisation en vue de la saison 2021. Il s'agit d'une décision crève-c½ur. Cette année, plus que jamais, nous sommes vraiment reconnaissants du rôle que chaque membre de la famille des Dodgers a joué dans nos succès.» - La direction des Dodgers
Donc, à la suite d'un Championnat, deux formations professionnelles ont dû aviser une tonne d'employés qu'ils n'avaient plus de boulot. Le Canadien a fait de même dès le mois de mars dernier en annonçant 60% de coupures, ce qui est énorme. Depuis, d'autres individus se sont retrouvés également sur le chômage. La pandémie, c'est ardu à tellement de niveaux, dont le mental en tête de lice.