LHJMQ | «Certains n'aimeront pas ce que je vais dire, mais...» https://t.co/GVKSdIrc7H— TVASports (@TVASports) November 21, 2020
«Certains n'aimeront pas ce que je vais dire, mais notre mois et demi sans jouer et à pratiquer a été extrêmement bénéfique. La COVID va peut-être nous faire réaliser qu'en pratiquant plus et jouant moins de matchs, on va permettre aux joueurs de notre ligue de se développer encore plus.» - Roy
Évidemment, cette déclaration a fait du bruit et la réponse de ses collègues se colle directement à ce que le pilote des Remparts de Québec a évoqué. Beaucoup d'entraîneurs-chefs sont en totale harmonie avec ça.
«J'ai eu cette discussion récemment avec Philippe Boucher et Denis Gauthier. Cette pause nous a permis de prendre le temps de travailler spécifiquement sur certains aspects avec les défenseurs et les attaquants. L'an passé, lors des sept premières semaines de la saison, on n'a eu aucune semaine de trois ou quatre entraînements. Je pense que la façon dont l'horaire avait été fait cette année (60 matchs plutôt que 68, NDLR), on jouait les fins de semaine, ce qui permettait de mettre l'accent sur le développement. De plus, l'école est très importante et le calendrier permettait aussi aux jeunes de se concentrer encore plus sur leurs études.» - Steve Hartley
Sommes-nous en train d'enfin réaliser que les matchs et le voyagement sont trop nombreux au sein de la LHJMQ? Ça fait des années qu'on évoque cette situation. Est-ce que ça prendra la pandémie pour ajuster cette donnée lorsque la vie reprendra un cours plus normal? Yanick Jean, le pilote des Saguenéens de Chicoutimi, embarque dans le bateau lui aussi en précisant que la ligue devra trouver une balance.
Comme on dit, il y a toujours un petit trésor caché derrière chaque obstacle.