"De nombreux employés et ex-employés de Hockey Québec dénoncent un climat de travail « toxique » au siège social de la fédération. La moitié du personnel a quitté depuis l'arrivée du DG Paul Ménard. Une étonnante saga."
Des employés actuels et d'anciens employés croient que l'ambiance malsaine de la fédération pourrait mettre en péril la mission de celle-ci, rien de moins. Ce n'est pas une personne ou deux qui a indiqué ce problème majeur, mais plutôt une quinzaine d'individus sondés à ce sujet...
De nombreux employés et ex-employés de Hockey Québec dénoncent un climat de travail « toxique » au siège social de la fédération. La moitié du personnel a quitté depuis l'arrivée du DG Paul Ménard. Une étonnante saga. https://t.co/c9wzh6NQ8D— Martin Leclerc (@MLeclerc_Hockey) December 1, 2020
Le portait qu'a dressé cette brochette raconte l'histoire pratiquement horrible des quatre dernières années de la deuxième plus grande fédération du Québec. Plusieurs personnes ont démissionné. Plusieurs personnes s'absentent pour différentes raisons, et ça depuis que Paul Ménard est en fonction à titre de directeur général (le 26 août 2016).
On parle de contradictions, de réprimandes écrites pour des niaiseries, des employés délestés de leurs dossiers, d'absence de communication, de climat de suspicion et des conflits opposant la direction à des partenaires de longue date de la fédération. Le pire, c'est que tout ça se sent chez nous, à Rouyn-Noranda... Évidemment, le climat est devenu merdique et les employés n'ont aucunement envie de se retrouver au sein de cette ambiance.
Évidemment, monsieur Ménard clame que tout va bien, qu'il n'y a rien de vrai dans tout ça. Mon oeil. Connaissez-vous le dicton "il n'y a pas de fumée sans feu", monsieur Ménard? Je me souviens que lors de votre embauche, plusieurs personnes se questionnaient et ça ne faisait pas du tout l'unanimité puisque vous n'êtes pas reconnu comme un gars d'équipe.
Hey, en quatre ans en poste, pas moins de 22 employés passionnés ont remis leur démission... mais pour le clan Ménard, 99% de ces départs volontaires sont justifiables. Ils ont perdu 60 ans en années d'expérience, alors que pendant le mandat de Sylvain Lalonde, il y a eu une stabilité pendant 13 ans. Ça en dit beaucoup, n'est-ce pas?
Monsieur Leclerc a récolté plusieurs témoignages d'anciens employés que vous pouvez lire à partir d'ICI.
Pour avoir eu des mésententes avec cette fédération, je ne suis aucunement surpris de lire ça ce matin, café en main.