Voici les dires du Québécois au sujet de Dvorak :
« C'est un gars qui est très difficile à affronter et qui ne prend pas de soirs de congé. Plusieurs vantent son jeu défensif qui est excellent, mais il ne faudrait pas négliger ses aptitudes en attaque pour autant. Il a un bon tir et une excellente vision du jeu. »
Il a même poussé la note un peu plus fort, ce qui démontre à quel point ce joueur-là est méconnu et sous-estimé :
« Il va être extrêmement bon à Montréal. En Arizona, Dvorak évoluait au sein d'une équipe en pleine reconstruction qui peinait à faire les séries. Il n'était pas très bien entouré. S'il est bien utilisé par les Canadiens, vous pouvez vous attendre à une production allant jusqu'à 60 points. »
60 points? Wow! C'est audacieux comme prédiction, mais pas totalement dans le champ gauche. Je me tue à le répéter, Dvorak n'est pas uniquement un joueur dominant sur les 200 pieds, il détient un up-side offensif phénoménal, ce que Phillip Danault n'a pas à l'intérieur de son coffre.
On l'aime, Phil Danault, même s'il a quitté l'équipe, alors qu'au préalable, son désir était de porter l'uniforme du Canadien pour la totalité de sa carrière. Cela dit, Dvorak pourra jouer le rôle de Danault, soit d'être envoyé contre les trios adverses sans que Dominique Ducharme soit nerveux. En plus de ça, il contribuera à l'attaque en inscrivant des buts importants. N'oublions pas qu'il a soulevé une coupe Memorial en 2016, lui qui a été très dominant lors de ces moments forts.
Bref, une fois de plus, on envoie un pouce levé à monsieur Marc Bergevin, un directeur général très proactif!