Malgré tout, Stéphane Leroux, de passage au 98,5 Sports, a pris le temps de défendre ouvertement le travail de Trevor Timmins durant son long passage à Montréal.
Leroux a répété à plusieurs reprises que Ryan Poehling était un excellent choix à l'époque, mais que c'est le développement qui a fait défaut dans son cas. Tout n'est donc pas toujours la faute du chef recruteur.
De plus, Leroux ajoute que, même si elles ne sont plus avec l'organisation, plusieurs sélections de Timmins ont permis de rapporter un élément qui, lui, fait toujours partie de l'organisation.
Alex Galchenyuk, par exemple, a été échangé contre Max Domi, qui a rapporté Josh Anderson. Il en va de même pour Max Pacioretty qui a permis d'obtenir Nick Suzuki, ou encore pour Mikhail Sergachev qui a rapporté Jonathan Drouin au CH.
L'acquisition de Michael Matheson n'aurait pas non plus été possible sans Ryan Poehling. Leroux tient donc à faire réaliser aux amateurs que ce qui arrive avec les espoirs après le repêchage n'est pas nécessairement la faute des recruteurs.
Il est évident que Trevor Timmins a une part de responsabilité dans cette histoire, mais est-il le seul fautif à blâmer? La réponse est non.
SONDAGE | ||
Trevor Timmins subit-il plus de critiques qu'il en mérite? | ||
Oui | 284 | 40.8 % |
Non | 412 | 59.2 % |
Liste des sondages |