À ce sujet, Antoine Roussel, la petite peste de Canucks de Vancouver, s'est prononcé et disons que ses propos, livrés sur le plateau de l'émission JiC, étaient très éloquents envers l'aspect physique de Weber et Edmundson :
« Les gars avaient la hargne. Et ça, c'est parti de la brigade défensive. Shea Weber et Joel Edmundson cognaient, frappaient fort, c'était à la limite d'être cochon, mais c'était juste parfait. Et ils ont envoyé des messages clairs. Eux, ils ne sont pas prêts à mourir. C'est ça que tu veux voir dans un match éliminatoire. »
Weber et Edmundson ont joué avec la rage au ventre, ce qui a motivé les autres soldats à appuyer sur l'accélérateur, ce qu'a fait parfaitement Josh Anderson, grâce à sa vitesse et à sa force physique. Weber était tellement inspirant, que lorsqu'il a pris quatre minutes au cachot, le message a été FORT envers lui. N'est-ce pas exactement ÇA être un GRAND leader?
Shea Weber est fini, je me souviens que j'entendais ça cette année... En tout cas, si j'avais à être fini, j'aimerais être fini comme Shea Weber, moi. Quel homme! Quel athlète! Quel leader exceptionnel! Avec les séries que les montagnes de l'ouest connaît, les gens qui le dénigraient doivent livrer un mea-culpa. Rien de moins!