Blague à part, en sirotant mon premier café matinal, j'ai parcouru un article de Marc-Antoine Godin à travers duquel il était question du trait de caractère, entre autres, du Canadien de Montréal.
Comme Godin l'a judicieusement précisé dans son billet sur le site The Athletic, Dominique Ducharme souligne trop souvent le trait dominant de ses adversaires, mais celui du Canadien de Montréal, c'est quoi au juste?
Entendre un discours de perdant, les amateurs et les médias sont « écoeurés ». L'équipe indique pratiquement qu'elle perd de la bonne façon, qu'elle progresse, mais les fautes d'exécutions, les fautes mentales et le manque d'assimilation du plan de match se répètent sans arrêt. Même lorsque le CH perd « bien ».
Pour plusieurs, il est temps de bouger, de réaliser des transactions et d'activer un autre « reset », mais sachez que ça ne se fait pas en criant ciseau, surtout en pleine saison comme ça. Pensez-vous que c'est facile de transiger des contrats comme ceux de Brendan Gallagher ou Joel Armia?
C'est beaucoup plus facile de jouer à ce jeu à NHL 2012 qu'en réalité... La première des choses, Geoff Molson doit arrêter de se terrer dans sa tanière et présenter un plan de match à ses abonnés, clients et fanatiques. Voilà!