Georges Laraque a lancé tout un avertissement à Mark Scheifele en vue de la prochaine saison
Le joueur de centre vedette des Jets de Winnipeg Mark Scheifele a fait jaser ces dernières heures sur les médias sociaux, alors que sa participation à une publicité de la Société d'assurance publique du Manitoba a été fortement critiquée en raison du slogan utilisé par celle-ci...
« Tu ne peux pas avoir la tête basse sur un deux contre un mon gars », peut-on l'entendre mentionner en anglais à un automobiliste utilisant son cellulaire au volant. Cette phrase a même été traduite à « Prendre un coup sur la tête, ce n'est pas drôle », sur la page française de la société.
Comme il était prévisible, de nombreuses personnes ont établi un lien entre ce slogan et le coup salaud que ce même Scheifele avait décerné à Jake Evans, lors du premier match de la série ayant opposé les Jets de Winnipeg aux Canadiens de Montréal en juin dernier.
Ce coup est d'ailleurs la raison pour laquelle le prochain match entre ces deux équipes est très attendu par le public. Ce duel aura lieu le 1er mars 2022, au Canada Life Centre de Winnipeg, et l'ancien bagarreur de la LNH Georges Laraque a lancé un énorme avertissement à Scheifele via son compte Twitter en prévision de cette rencontre...
Quand Mark Scheifele va affronter le CH le 1 mars, vous allez comprendre l'importance du code https://t.co/gNifqPuR6e— Georges Laraque (@GeorgesLaraque) September 17, 2021
Laraque ne s'est ainsi pas gêné pour rappeler l'importance du fameux « code » qui est de mise dans la Ligue nationale de hockey, lui qui a dû à maintes reprises venger des gestes posés à l'endroit de ses coéquipiers lorsqu'il évoluait lui-même dans la ligue.
Il est donc d'avis que cette publicité tournée par Scheifele rajoute de l'huile sur un feu qui n'était pas encore éteint dans le coeur des joueurs et des partisans du Canadien.
Même s'il n'y a aucun joueur étiqueté au rôle de « goon » dans la formation du CH, certains joueurs comme Josh Anderson ou encore Ben Chiarot sont certainement capables de jeter les gants lorsque le contexte le demande.
Si l'on en croit les propos de Georges Laraque, il faudra donc s'attendre à tout un règlement de compte durant ces retrouvailles qui s'annoncent déjà tendues.
