Brandon Prust a pris une bonne décision dans les circonstances
Brandon Prust a fait parler de lui lors des derniers jours et disons que ce n'est pas pour les bonnes raisons. L'ancien pugiliste des Canadiens de Montréal a enflammé Twitter lorsqu'il a envoyé valser une dame qui n'était pas en harmonie avec ses propos contre le gouvernement. Il a été très incisif et TRÈS impoli envers celle-ci.
Voici la séquence en question, pour ceux qui ont raté cet épisode :
« Donc ça veut dire qu'ils peuvent me forcer à faire tout ce qu'ils veulent? J'espère qu'ils vous forcent à vous lancer dans le commerce du sexe pour que vous puissiez enfin vous faire baiser comme des moutons. J'ai payé plus d'impôts pour ces routes que vous ne pourriez jamais rêver d'argent sur votre compte. Tu mérites de rester dans ton sous-sol! » - Prust
Donc après avoir reçu une tonne de tomates en pleine tronche, il s'est excusé auprès de la femme, même si le mal était déjà fait, puis il a pris la décision de prendre une pause des réseaux sociaux.
« Je voudrais m'excuser auprès de la dame à qui j'ai répondu. Elle a supprimé son tweet, donc je ne peux pas la trouver. Mon intention n'était d'offenser personne, c'était une mauvaise blague. Je m'excuse pour mon mauvais choix de mots. J'espère que le gouvernement n'obligera personne à se lancer dans le commerce du sexe! » Prust
« Après avoir réfléchi, écouté les conseils de ma famille et de mes amis, et ceux de ma communauté, je sais que ce que j'ai tweeté était mal. Je n'encourage ni n'accepte la violence envers les femmes. Je respecte les femmes. Je vais aussi travailler pour mieux comprendre les mesures de la Santé publique.
À Elizabeth MacAulay, je m'excuse sincèrement et profondément. C'est une période d'apprentissage importante pour moi. Je vais prendre une pause des réseaux sociaux pour apprendre et aller de l'avant.
Merci à tous ceux qui ont joué un rôle afin de m'ouvrir les yeux à ce pèlerinage que je dois faire, pour devenir un meilleur citoyen. »
Voici le message dans son entièreté :
Bref, bonne pause, Brandon!
