Félix Séguin vient de publier un billet au sujet d'un certain 25 novembre, soit celui de l'année 2015, où tout s'effondrait pour ce groupe alors guidé par Michel Therrien. Pourtant, cette cuvée était au sommet de la Ligue nationale pratiquement à tous les niveaux.
CH | Difficile d'oublier cette saga... https://t.co/PaRF1F0bu1— TVASports (@TVASports) November 25, 2020
Le 25 novembre 2015, les ouailles de coach Therrien se retrouvaient au sommet de la LNH, au sommet de la meilleure attaque du circuit, au quatrième échelon pour la meilleure défensive et les unités spéciales étaient parmi l'élite de la LNH. Tout fonctionnait à plein régime. Le Québec était en liesse... jusqu'au moment où tout s'est effondré. Carey Price a été blessé gravement au Madison Square Garden.
Le numéro 31 a passé le restant de l'année à l'infirmerie afin de guérir une blessure à la jambe droite. À partir de là, ça s'est effondré. Le Canadien a perdu le contrôle de sa saison, rien de moins. Mike Condon avait de bonnes intentions certes, mais il n'a pas été en mesure de réaliser suffisamment de miracles pour amener le Canadien de Montréal en valse printanière. À noter qu'il a été secondé par Ben Scrivens, Dustin Tokarski et Charlie Lingdren... Ouin!
Price devait rater quelques semaines... mais il s'est absenté pendant la saison entière. 59 rencontres sans Price, où le bleu-blanc-rouge a subi 38 revers. Le Tricolore est passé de héros à zéro dès que le Prince a quitté le club pour "gérer" sa blessure (qui a fait tout un tollé à cette époque). Depuis 2015, la question tourne : Que serait-il arrivé au Canadien si Price ne s'était pas absenté?
Comme l'a sagement indiqué monsieur Séguin... on ne le saura JAMAIS.