Depuis son retour au sein du groupe, Caufield affiche un différentiel de moins-4, puis il n'a toujours pas inscrit son nom sur la carte de pointage. En 12 rencontres, il n'affiche qu'une mention d'aide au compteur et son différentiel total est de moins-7. Ouch!
Avec cette prestance, les amateurs et les journalistes sont durs avec lui, ça grenouille de partout et son manque d'offensive fait trembler le Québec... Disons qu'il s'est bien senti loin de la tornade montréalaise lors de son séjour au sein de club-école.
« Aller en bas m'a permis de faire le vide et de retrouver mon jeu, ma confiance. J'ai trouvé que ç'a été bon pour moi d'aller faire un tour en bas et de me retrouver comme joueur, de relaxer un peu et de m'éloigner du bruit. Quand j'ai eu l'appel, j'étais fébrile. Comme si c'était la première fois. J'avais de l'énergie pour ces deux premiers matchs et je dois continuer. »
Le « kid » se met beaucoup de pression en raison des attentes envers lui et de ses prouesses lors de son arrivée avec l'équipe la saison dernière. Il a également la pression de son camarade Trevor Zegras et celle des partisans, qui le voyaient marquer 30 buts cette année.
N'oublions pas une chose, Caufield a 20 ans et il est en processus de développement comme joueur de hockey professionnel.