« Je suis ici depuis dix ans et j'ai toujours joué avec Carey. Je ne peux rêver d'un meilleur coéquipier. Il est un modèle pour la ville, pour les jeunes et la communauté autochtone. Il a décidé de se regarder dans le miroir et il a voulu devenir un meilleur homme. Il est déjà un bon coéquipier, un bon mari et un bon père. Mais il a besoin de travailler sur lui. C'est un geste courageux, une décision difficile. Il a notre appui comme coéquipier et ami. » - Gallagher
Évidemment, comme Marc Bergevin et plusieurs de ses coéquipiers, le petit numéro 11 se sent tellement impuissant face à cette situation...
« Il y avait beaucoup d'émotions quand j'ai appris ça. J'étais surpris. J'étais aussi un peu déçu. Je le considère comme un très bon ami. Chaque fois que j'ai vécu des situations difficiles, il était là pour m'aider. J'aurais aimé faire la même chose pour lui. Je ne le savais pas. Mais je suis heureux de sa décision. Nous aimons le hockey, mais ça devient secondaire quand tu penses aux choses plus sérieuses de la vie. » - Gallagher
Ce que j'ai retenu du discours du petit « Gally », c'est son passage au sujet du superhéros. Le numéro 11, qui a précisé à maintes reprises que Price demeurait un ami spécial, n'aime pas que les amateurs perçoivent Carey Price comme Superman, un superhéros. Il trouve ça injuste et inapproprié qu'il soit traité ainsi parce qu'il est un GRAND joueur.
Disons qu'il n'est pas dans le champ gauche au sujet du terme superhéros...