Le lent début de saison qu'il a connu peut donc fort probablement être associé à une période d'adaptation dans son cas, lui qui a toutefois trouvé son erre d'aller dans les dernières semaines avec une récolte de neuf points, dont quatre buts, dans les sept dernières rencontres.
Il reste cependant un détail important à corriger pour le jeune homme s'il veut réellement faire sa place dans l'élite du circuit Bettman à sa position. En effet, les statistiques démontrent que l'ancien choix de première ronde des Golden Knights n'arrive pas à performer autant lorsqu'il joue sur la route que lorsqu'il évolue devant ses propres partisans.
L'échantillon est bien évidemment trop petit pour que ce défaut puisse être défini comme une tendance lourde dans son cas, mais Suzuki n'arrive tout simplement pas à mettre son empreinte sur le jeu de son équipe à l'extérieur depuis le début du mois, comme en fait foi sa minuscule moyenne de 0.5 chance de marquer par match loin de la maison.
Heureusement, le numéro 14 du Tricolore aura amplement la chance d'améliorer la situation puisque son équipe disputera quatre de ses six prochaines parties sur des patinoires étrangères. Cette séquence s'amorcera mardi, à New York, contre les Rangers. Il sera crucial que Nick Suzuki lève son jeu d'un cran, sans quoi le résultat de cette séquence pourrait être catastrophique pour le CH.