Cédric Paquette a remporté la Coupe Stanley avec le Lightning de Tampa Bay en 2020. Ce fut un moment bien spécial pour le numéro 13, mais il aime considérablement la possibilité de soulever le précieux trophée avec sa nouvelle équipe.
« Plusieurs personnes m'ont parlé de cette possibilité », a reconnu le champion de 2020 avec le Lightning de Tampa Bay, lors d'une entrevue avec Le Journal.
« Ça m'a donné encore plus hâte d'endosser le chandail du Canadien et d'amorcer la saison. »
Le Gaspésien est très heureux de pouvoir côtoyer plusieurs Québécois au sein de l'organisation, car l'année dernière, il a trouvé la saison longue en Caroline sans francophone.
« Plus il y a de Québécois, plus c'est plaisant. Ça fait du bien parce que l'an passé, en Caroline, il n'y en avait aucun. S'intégrer, c'est plus facile quand il y a des Québécois. Même pour les conjointes! », a souligné Paquette.
David Savard, lui, vient tout juste de triompher avec ce même Lightning, et ce, face aux Canadiens de Montréal. Toutefois, en 2022, il espère revivre la même chose, mais cette fois-ci, en Bleu-blanc-rouge.
« Mon plan est d'avoir exactement la même journée que je viens de vivre à la même date l'an prochain. On va essayer de ramener la coupe à Montréal. J'ai aimé la façon dont le Canadien jouait quand j'ai joué contre [lui] dans les séries éliminatoires! », avait alors indiqué l'ancien défenseur du Lightning.
Jonathan Drouin est confiant, mais reste réaliste. Il sait que sa diversion est puissante, considérant les équipes qui en font partie, telles que le Lightning, les Bruins et les Leafs notamment. En premier lieu, il faut faire les séries.
« La division Atlantique a toujours été relevée. Surtout au cours des cinq dernières années. C'est un beau défi. En plus, affronter d'excellentes équipes en saison régulière, c'est une bonne préparation pour les séries », a soutenu Jonathan Drouin, aussi rencontré près du vestiaire de l'équipe, à Brossard.
« Il y a un paquet d'équipes qui n'ont pas fini premières ou deuxièmes de leur division et qui ont eu la chance de gagner la coupe Stanley, a-t-il ajouté. C'est notre objectif chaque année. L'an passé, on a fait un bon bout de chemin, mais on a fini comme tout le monde : pas de trophée, pas de défilé. Alors, on repart à zéro et on se met en position de faire les séries. »
Les Québécois de l'organisation ont de gros projets pour les Canadiens de Montréal cette année. J'aime le fait que nos francophones prennent les choses en main. C'est fortement encourageant!