Contrat de Carey Price : le 2 juillet prochain, une date à surveiller!
Parmi les sujets qui font couler beaucoup d'encre actuellement, il y a la pandémie, évidemment, ainsi que le fameux lourd contrat du gardien des Canadiens de Montréal, Carey Price. Quand on gagne 10,5 millions pour garder les filets de la Sainte-Flanelle comme gardien numéro un, les partisans s'attendent à des statistiques incroyables et c'est normal!
Au moins, les deux dernières sorties de Price ont permis de diminuer quelque peu le feu qui prenait de plus en plus d'ampleur sur la place publique. En accordant seulement deux buts en deux rencontres tout en conservant un pourcentage d'efficacité dans les .960, cela ressemble beaucoup plus au Carey Price qu'on s'attend à voir du côté de Montréal.
Mais la question qui se trouve dans la tête de la majorité des partisans montréalais est permise d'être posée. Est-ce que Carey Price terminera sa carrière à Montréal? Du moins, est-ce qu'il terminera ce fameux contrat de huit ans à 10,5 millions par saison?
L'histoire d'un boni qui pourrait rapprocher Price de Seattle notamment → https://t.co/xyQE5BTOlz— DansLesCoulisses (@DLCoulisses) March 8, 2021
Un aspect important du contrat de Price a été souligné par le site DansLesCoulisses.com. Le 1er juillet prochain, Price va recevoir un boni de onze millions. Ainsi, son salaire annuel en 2021-2022 sera uniquement de deux millions. Puis, il passera respectivement à 7,5, 8,5, 7,5 et 7,5 millions lors de chacune des quatre saisons restantes à son contrat.
Le contrat de Price pourrait donc devenir intéressant pour une équipe qui désire payer un salaire moindre au joueur que l'impact qu'il représente sur la masse salariale de l'organisation. Ceci pourrait intéresser le Kraken. Ce qui est beau dans tout cela, c'est que le repêchage d'expansion sera tenu après le 2 juillet, soit le 21 juillet plus précisément. Le Kraken n'aurait donc pas à décaisser onze millions pour payer ce gros boni à Price.
Évidemment, avec la clause de non-échange au contrat de Price, ce dernier doit accepter de quitter le Tricolore ainsi que sa nouvelle destination. Originaire de la Colombie-Britannique, il pourrait quand même apprécier retourner de son côté du continent. De plus, son épouse, Angela Price, est originaire de la région de Seattle et la famille Price passe la majorité de leurs étés là-bas.
Il reste encore un bon quatre mois d'ici le repêchage d'expansion, mais n'empêche que ce scénario ne disparaîtra jamais complètement du portrait d'ici là. Ce sera un dossier chaud à surveiller.
Crédit : DansLesCoulisses.com
